"c'est la déclaration de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel en octobre 2010 à Deauville qui a mis le feu aux marchés. « En annonçant que si un pays faisait défaut dans le futur, et la Grèce était évidemment dans la ligne de mire, ce seraient les créanciers privés qui paieraient, ils ont semé la panique sur les marchés », accuse Georges Papandréou."
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