La Commission européenne se prépare à la faillite des banques

http://blogs.mediapart.fr/edition/lagora-des-caisses-d-epargne-des-banques-populaires-et-de-natixis/article/130612/vers-l

La Commission européenne se prépare à la faillite des banques… Elle a présenté le 6 juin une proposition de directive « établissant un cadre pour le redressement et la résolution des défaillances d’établissements de crédit et d’entreprises d’investissement ». Cela fait plus d’un an que la commission travaillait sur ce document et il est révélateur qu’il soit publié au moment même où les banques espagnoles sont en pleine tourmente. Le besoin de recapitalisation de ces banques est estimé entre 50 et 200 milliards d’euros[1] et le sauvetage de la seule Bankia nécessiterait 23,5 milliards d’euros, soit près de 18 fois plus que l’estimation faite fin 2011 par l’Autorité bancaire européenne.

Cette directive qui prétend avoir vocation de protéger le contribuable en cas de faillite bancaire est instructive en ce sens qu’elle reconnaît des réalités qui ont été niées jusqu’à ce jour. Elle admet notamment que « l’intervention des pouvoirs publics a coûté très cher au contribuable et a même compromis la viabilité des finances publiques dans certains états membres. » Pour mémoire, 4 500 milliards d’euros d’aides d’État ont été accordés aux établissements financiers entre octobre 2008 et octobre 2011. La Commission fait également un constat d’échec des politiques d’aide aux banques en relevant que « les plans d’urgence élaborés pour lutter contre les crises financières ont été insuffisants ». En clair, les 4 500 milliards d’aide ont été accordés aux banques en pure perte pour les contribuables appelés à la rescousse. Mais si la Commission se prépare à une faillite imminente des banques, elle persévère dans une attitude inappropriée dénoncée par Frédéric Lordon : « non pas éviter la survenue des crises mais améliorer la gestion de leurs effets. »[2]

… sans prendre les mesures nécessaires pour l' empêcher.......(etc)

Où sont ces grands économistes , ces grands et supers spécialistes de la finance ???

Comment avec un degré d'instruction si élever peuvent-ils ignorer , qu'un pays sans revenus et qui continue de dépenser est obligatoirement voué à la faillite.

Un pays fonctionne comme un ménage , il y a les recettes , les dépenses et le solde , c'est la base de tout , si les dépenses sont supérieures aux revenus , c'est la perte.

Pour le reste tous ces financiers , banquiers , etc... n'ont fait qu'inventer des systèmes très complexes qui ne servent qu'à nous endormir et leur permettre de magouiller en leur faveur sans que le peuple n'y comprenne rien et n'y voit que du bleu.

Il ne nous reste plus qu'à constater les dégâts maintenant , et voir dans quelle misère ils ont plongé les peuples.

Là aussi il serait temps que nous nous réveillons , et que nous sachions dire stop au massacre.

Ce n'est pas au peuple de payer les pots cassés , c'est à ces gestionnaires incapables et corrompus de payer.

tu vois Pierrot, je verrais bien le DSK venir pour régler cela! on lui a cassé le dos avec ce complot! oui complot!

il devait dénoncer les USA car leur or a disparu des réserves fédérales!

c'est un grand économiste, ne l'oublions jamais!

Il se peut que tu aies raison " Hoby ",

Mais ce grand économiste et son FMI on bien contribué à mettre la Grèce dans la M.... , depuis quand prête-t-on de l'argent à un pays endetté jusqu'au cou , à condition de plonger tout un peuple innocent et victime du capitalisme , dans la misère et la pauvreté en l'obligeant ainsi à rembourser la dette causée par des gestionnaires corrompus.

Mais bon notre pays va dans cette direction , et là peu à peu nous comprendrons bien mieux et sans que l'on nous explique quoi que ce soit.

Notre pays n'a pas encore assez faim , mais cela viendra.

DSK ou pas , si nous ne nous réveillons pas , nous allons tomber de haut , mais je pense que pour le réveil il est déjà bien trop tard.

Économistes , Présidents , chefs d'état , etc... on bien d'autres choses à faire que de sauver leurs peuples , c'est surtout sauve qui peut.

raison tu as Pierrot! mais le FMI prêtait à la Grèce et au Portugal avant l'arrivée de cet économiste d’exception, je pense

Possible " Hoby " .

Mais ce super héros de l'économie , durant son mandat du moins à ma connaissance, n'a rien fait pour arrêter le massacre , bien au contraire.

Les gens ont la valeur supposée que l'on veut bien leur donner , mais leur vraie valeur c'est dans les résultat de ce qu'il font qu'on la trouve.

Je ne pense pas que DSK ai fait des choses bien honorantes pour la Grèce.

Le FMI est comme une banque , il ne prête pas pour rien ni sans conditions , connaît-on beaucoup de grands banquiers honnêtes , qui aident bien plus leurs clients que de se soucier de leur propre banque ?

http://www.lepoint.fr/politique/le-bilan-de-dominique-strauss-kahn-au-fmi-19-05-2011-1332587_20.php

Avec DSK, la Grèce perd un allié de poids face à Berlin, la City et Wall Street

Publié le 16/05/2011 10:48 - Modifié le 16/05/2011 à 11:23


Le Premier ministre grec Georges Papandréou (g) et le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn à Athènes le 7 décembre 2011 - Aris Messinis AFP/Archives

Après l'inculpation aux Etats-Unis du patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, le gouvernement grec perd un allié de poids à un moment crucial face à Berlin, la City et Wall Street qui poussent Athènes à procéder à une restructuration dure de la dette du pays.

Hué et conspué dans les manifestations à Athènes, le patron du FMI Dominique Strauss-Kahn, a, en 2010, obligé l'Europe à vaincre ses querelles pour sauver la Grèce de la faillite et éviter alors une probable explosion de la zone euro, [size=18]en échange de mesures d'austérité drastiques.

Dimanche, M. Strauss-Kahn, arrêté par la police new-yorkaise pour agression sexuelle, a raté un rendez-vous crucial qui devait être consacré à la Grèce, avec la chancelière allemande Angela Merkel, fortement réticente l'an dernier à mettre la main au portefeuille pour aider Athènes et maintenir l'unité de la zone euro.

Au cours de la réunion devait être évoqué un éventuel deuxième paquet d'aide en échange de nouvelles mesures d'austérité et de privatisations supplémentaires, DSK affirmant il y a quelques jours encore que la Grèce pouvait s'en sortir sans restructurer sa dette, si elle menait à bien tous ses projets.

Au contraire, les marchés tablent depuis des mois sur une restructuration de la dette grecque. Selon un sondage, 85% des investisseurs internationaux jugent un défaut de paiement de la Grèce inévitable.

Dès dimanche, les médias grecs ont estimé que le gouvernement socialiste grec de Georges Papandréou avait "perdu un allié".

La télévision publique Net a rappelé que le chef du FMI "avait aidé la Grèce" lors des négociations avec l'UE pour décrocher l'aide au pays, face au...


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Mais bon je m'arrêterai là , avoir tort ou raison ne m'apportera absolument rien , nous bagarrer pour çà non plus.

La bagarre nous devons le mener toutes et tous ensembles pour nous sortir de ce maudit pétrin.

Pierrot1 a écrit:

depuis quand prête-t-on de l'argent à un pays endetté jusqu'au cou ,

C'est la question que se pose tout preteur à un état/entreprise avant d'accorder un nouveau prêt
" Si je continue de preter pourra t'il me rembourser ? sachant que le montant de sa dette va augmenter"
" Si j'arrete de preter, il va tomber en faillite et il ne me remboursera pas ce qu'il me doit depuis le début"
"Quel est le moins risqué des 2 scenarios ?"

Pour la grèce, les banques ont decidé de ne quasiment plus rien preter et ont passé en perte leurs prets.
Du coup la Grece, n'ayant presque plus de financement de la part des banques s'adresse à la bce ou au fmi. Et là, les ennuis arrivent encore plus serieusement car la bce/fmi interviennent sur les decisions de l'etat.
Le fmi a toujours completement desossé un pays quand il intervient (privatisation, baisse salaire, contrat de travail revu à la baisse, liberalisation à outrance, arret des services sociaux, ...).
la bce n'a pas de stratégie claire sur le sujet, car normalement elle ne doit pas preter aux etats, mais elle impose des contraintes aux grecs.

En réalité, je pense, que pour sortir de l'orniere, il faut que la bce puisse imprimer des billets quitte à créer de l'inflation et les donner aux etats (mais les allemands ne le veulent pas).
Comme l'economie allemande commence à souffrir (baisse des exportation en octobre) ils vont accepter mais quand ?