La dette publique de la France : qui va payer ? La gestion irresponsable du budget de l’État français ces trente dernières années s’explique par des dépenses publiques parmi les plus élevées du monde. Pour payer ces 1150 milliards d’euros de dépenses incontrôlées chaque année, la France fait payer le peuple par l’impôt. Ainsi, la France compte parmi les pays où l’impôt est le plus élevé au monde. Elle ne peut plus continuer ainsi, car trop d’impôts tuent l’impôt. En effet, pour s’en sortir, de nombreux français sont obligés de trouver des solutions pour échapper au fisc d’où la multiplication du travail au noir, des fraudes en tous genres ou de l’exil fiscal. Malgré l’énorme poids fiscal qui pèse sur les Français, la France ne parvient toujours pas à équilibrer ses comptes. Les politiciens ont trouvé la solution : faire des crédits et emprunter toujours plus pour combler des trous toujours plus gros.
C’est ainsi que les fonds de pension, les fonds souverains, les Chinois et les banques ont pris le contrôle de notre pays comme un banquier prendrait le contrôle d’un ménage qui ne parvient plus à payer ses factures ou ses crédits.
La dette des administrations publiques était de moins de 100 milliards d’euros en 1980, date à partir de laquelle l’État français a commencé à vivre à crédit.
Ainsi, la dette a doublé de 1980 à 1984 pour passer à 200 milliards, elle a encore doublé de 1984 à 1991, puis de 1991 à 1998 pour atteindre 800 milliards. On a fait une dernière culbute de 1998 à 2010 pour passer à 1600 milliards et à près de 1900 milliards actuellement (cliquez pour voir le compteur de la dette). Aujourd’hui, le poids de cette dette est devenu trop important. Aujourd’hui, la fête est finie, car l’heure de rembourser a sonné.
En effet, les seuls intérêts de la dette s’élèvent à 46,7 milliards en 2012 soit autant que le budget de l’éducation nationale avec son million d’enseignants, de personnels d’éducation, d’administration et de direction ! La France consacrera plus d’argent en 2013 à rembourser les intérêts d’emprunts à ses créanciers qu’à former ses enfants.
En plus des charges (intérêts) de la dette, il faut aussi rembourser le service de la dette, c’est-à-dire le capital. Le service de la dette de l’État représentait près de 170 milliards d’euros en 2011, soit autant que la totalité des ressources fiscales directes. Quel gâchis !
Enfin, sachez que la France empruntera 170 milliards en 2013 et que pour ...
Dette des administrations publiques au sens de Maastricht, France, 1978-2010 | Source INSEE.FR
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iciNous devons pour nous sortir de cette galère infernale, dans laquelle nous on plongé et continuent de nous y plonger tous nos politiques de tous bords, nous unir et ce quelles que soient nos différences.
Arrêtons de nous laisser laver le cerveau par leur belles promesses qui n'ont que pour seul but de nous diviser , ce qui leur permet en toute impunité de continuer encore et toujours plus nous plonger dans ce grand océan de la dette.
La BCE tout comme toutes les banques qui ont été sauvées avec l'argent du peuple , n'accepteront jamais d'annuler cette dette en notre faveur
Elles nous entrainent peu à peu vers le fond de cet océan de dettes, puis nous noieront sans le moindre scrupule.
Arrêtons de nous battre entre nous, toutes et tous autant que nous sommes, unissons-nous pour que cette dette soit payée par celles et ceux qui en sont responsables.
Nous les et les peuples n'y sommes absolument pour rien, nous ne sommes que des victimes qui subissons la dette et à qui en plus par la force on fait rembourser.
Arrêtons d'être passifs, contre une union absolue absolument personne ne peut rien y faire.
" L' UNION FAIT LA FORCE ", çà nos politiciens le savent trop bien, d'où leur ardeur et leur intérêt le plus absolu de nous diviser.
Pour gouverner d'une manière absolue les " ROIS " ont toujours affamé leurs peuples.
Soyons plus intelligeant que celles et ceux qui nous gouvernent.
Tant qu'il en est encore temps unissons-nous, c'est notre seule défense, contre notre union personne n'y peut rien.
Non seulement la France, mais au point où nous en sommes l'Europe entière doit s'unir, nous sommes tous dans la même galère.
Je le répète et le répèterai toujours, je n'appartient à aucun parti politique quel qu'il soit.
Les seules choses qui me motivent et doivent nous motiver, sont que nous avons, toutes et tous autant que nous sommes, le droit le plus absolu d'avoir du travail , du pain et un toit.
Nos gouvernements se doient de veiller à ce que nous ne manquions en aucun de ces trois éléments vitaux et essentiels, pas à leurs seuls et uniques intérêts.
Pierrot1.