À droite comme à gauche, les élus marseillais expriment leur ras-le-bolACTUALITE SOCIÉTÉ
Par Sophie HuetMis à jour le 05/09/2013 à 21:33 Publié le 05/09/2013 à 19:58
Malgré les déplacements de ministres et les annonces gouvernementales, la série de meurtres violents se poursuit à Marseille. Le maire de la ville réclame plus d'effectifs policiers.
À six mois des élections municipales, les drames qui se succèdent à Marseille provoquent une onde de choc dans la classe politique de la Cité phocéenne. Le sénateur maire UMP Jean-Claude Gaudin qui, «sous la présidence de Nicolas Sarkozy comme sous celle de François Hollande», réclame sans cesse des renforts de police, s'est insurgé contre l'annonce de l'arrivée de quelque 200 policiers supplémentaires à Lille. Il a estimé que le gouvernement «méprisait» sa ville et dénoncé «une décision partisane». La maire socialiste de Lille, Martine Aubry, l'a accusé de se livrer à «une polémique politicienne». Des propos qui ont là encore fait réagir l'intéressé. «Je demande seulement que Marseille, la deuxième ville de France, dispose de plus de...
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suiteLa misère à toujours apporté des situations et des actions catastrophiques.
La faim à toujours été et sera la porte ouverte à toutes les exactions , dérives possibles et inimaginables.
Le seul remède pour lutter contre cette situation est le travail et le pouvoir vivre comme de vrais êtres humains pour toutes et pour tous.
La troïka préfère et de loin l'austérité , seul moyen d'après elle de construire l'Europe.
Les résultats sont là.
Il en est de même pour l'économie.
La crise de 1930 n'a servi en rien de leçon à nos économistes et élites de nos pays.
D'ailleurs ils évitent avec grand soins de la rappeler.
Quand aux populations de chacun des pays respectifs qui composent l'Europe , tellement bien divisée par tous ces innombrables partis politiques qui leur lave les cerveaux , ne savent plus de quel côté se tourner , pas plus qu'elles ne savent plus quel est le bon chemin à suivre pour se sortir de là , elles sont complètement déroutées et ne savent plus se défendre par elles mêmes.
La situation est grave et catastrophique.
Pierrot1