Venant d'une presse tout entière dévouée à la représentation populaire et à ses maîtres (les oligarques) je prends ceci comme une provocation pour nous faire enrager. J'attends que l'on dénonce avec autant de zèle les magouilles des vrais maîtres. Enfin, j'attends sans attendre car ça ne viendra jamais.