Photos de l'auteur, des photos de Normandie et de Paris
En 2012, l'idée même qu'un pays nommé la France ait pu exister un jour est remis en question à la fois par les libéraux et les libertaires, les uns parlent de « nominalisme », parler de France c'est désigner une entité qui n'aurait jamais existé selon eux autre part que dans les fantasmes des nationalistes et souverainistes (ils reprennent étonnamment une vieille idée médiévale), et nostalgiques de l'Ancien Régime, de l'autre, d'aucuns évoquent l'idée « trop réductrice » selon eux de la nation dans notre pays (ainsi à ce lien ce sémillant représentant des « Indignés » qui pense qu'il faut dépasser cette idée).
Cela témoigne aussi que d'un côté comme de l'autre les idéologies n'entraînent que des raisonnements réducteurs et abscons.
Il est d'ailleurs à noter plusieurs choses, les libéraux sont les premiers à soutenir les revendications nationalistes voire chauvines d'autres nations qui par leur politique favorisent les intérêts des financiers :
l'Arabie Saoudite, Israël, les États-Unis.
Et en cas de coup dur pour les banques la nation existe et est reconnue puisque les banquiers sollicitent l'aide d'entités soit-disant abstraites à leurs yeux qui dans ce cas précis, quand ils ont besoin de « cash », redeviennent tout à fait tangibles.
Ainsi pour renflouer les caisses vides, l'argent de « l'état-providence » n'était pas de...
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