"Le ministère du travail grec a de son côté annoncé la suppression d'une cotisation sociale patronale pour satisfaire aux exigences des créanciers du pays, UE, BCE et FMI,
Représentant 1,1 % des cotisations de retraite et d'assurance-maladie, cette contribution patronale servait au financement des organismes de logement social et de culture populaire, dont la fermeture a été décidée cet hiver dans le cadre de la cure d'austérité dictée au pays par ses bailleurs de fonds."
l'article du monde