Les mineurs sud-africains d'Amplats rejettent avec force un licenciement massif

Des centaines de mineurs sud-africains du site de Rustenburg (nord) d'Amplats, numéro un mondial du platine, ont tenu samedi un rassemblement pacifique pour protester contre le licenciement massif de 12.000 personnes, mais brandi la menace d'un recours à la violence.



"C'est le début de la guerre", a ainsi lancé l'un des responsables syndicaux des mineurs, Gaddhafi Mdoda.

Regroupés dans un stade de Rustenburg, les mineurs ont été encouragés par leurs leaders à rejeter le licenciement prononcé par Anglo American Platinum (Amplats) et continuer les protestations jusqu'à l'obtention d'une augmentation salariale.

"Si Anglo American n'est pas prêt à négocier, ils doivent faire leurs bagages et partir", a déclaré M. Mdoda à l'AFP.

Les mineurs s'étaient rendus au stade sous escorte policière, scandant des slogans, tandis qu'un hélicoptère survolait la zone.

Les mineurs ont également observé une minute de silence à la mémoire d'un de leurs collègues, tué jeudi dans des affrontements avec la police.

Amplats, filiale d'Anglo American qui emploie 28.000 personnes à Rustenburg et y produit près d'un quart du platine mondial, a mis vendredi à exécution sa menace de licencier tous les mineurs en grève sauvage, depuis le 12 septembre, qui refuseraient de comparaître devant un conseil de discipline.

Plusieurs d'entre eux, déterminés à obtenir les substantielles augmentations de salaire qu'ils réclament depuis le début de leur mouvement, ont menacé de recourir à la violence pour forcer l'exploitant de la mine à les réembaucher.

"S'ils ne veulent pas nous parler, beaucoup de choses vont brûler à partir d'aujourd'hui", a lancé à l'AFP Hendrick Mpondo, 27 ans. "S'ils disent qu'ils nous licencient, nous allons nous battre contre eux. Il y a déjà des gars qui projettent de brûler la fonderie".

Les mineurs se sont cependant dispersés dans le calme, à l'issue de ce rassemblement. Ils ont néanmoins promis de poursuivre leurs protestations.

Pour la majorité d'entre eux, ils n'étaient pas...


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Au lieu de réclamer 1 augmentation de salaire, ils devraient exiger la réquisition des biens des pilleurs de leurs terres ! Etre mieux payés pour continuer à empoisonner leurs terres ? Eh faut arrêter de copier les syndicalistes français qui magouillent avec le Medef ou plutôt Merdef ( Mouvement des Entubeurs Ratifieurs Dirigeants de l'Economie des Factices). Etre môôôderne ne signifie pas tourner en boucle 1 politique d'asservissement ! Non mais !

entre (), il y a meme deux dirigeants (CGT et l'autre) au diner "du Siècle", c'est vous dire!

revenons aux mineurs, c'est un honte indescriptible de voir les multinationales et la finance mettre en esclavage des hommes, des hommes (comme dit très bien Darna) se trompent d'objectifs! peut-on les en blâmer, il faut faire la soupe tous les jours!

Et la soupe de chaque jour, ben faut la cultiver, la récolter, l'éplucher et lalala...la cuisiner...lalala pour la Faire, là !

En postant ce sujet ,

Mon idée principale était de démontrer à quel point les gros richards , pour avoir encore et toujours plus de gros sous , étaient près à exploiter leurs semblables.

Cela s'appelle " l'exploitation de l'homme par l'homme " !!!!

Ne faudrait'il pas faire quelque chose là ????

Ou parce que ces pauvres gens sont noirs , doit-on les laisser se faire exploiter et massacrer toujours et encore comme des esclaves ????

http://www.bonaberi.com/ar,france_2_diffuse_francafrique_raisons_d_etat_1_2,8121.html à visionner, SVP ! 1 des raisons pour lesquelles je reste en Occident, c'est que c'est 1 des bastions de la consommation aveugle qui alimente l'exploitation des hommes et de leur environnement.
Lorsque j'évoque l'accusation de crimes contre l'humanité et d'empoisonnement des ressources naturelles et que je fais appel à toutes les volontés et compétences pour couper les vivres des monopolisateurs économiques de tous horizons...ce n'était pas 1 blague !
Utilisation du platine ou or blanc, par qui, croyez vous ?

Université Populaire du Pays d’Aix
Les corps au travail dans le droit
Droit du travail avec Luc Justet, Formateur en Droit du Travail et Relations Sociales
Le Code civil distingue le droit des choses du droit des personnes. Il est cependant plus facile de fixer des règles se rapportant à des meubles ou des immeubles que concernant des corps dotés de chair et d’organes, et de surcroit doués de raison... Et lorsque ces corps sont au travail, dans une position de soumission apparemment peu compatible avec les concepts de liberté individuelle et d’égalité institués par la Déclaration des droits de l’homme de 1789, il devient intéressant d’examiner au plus près comment le droit, spécifiquement le droit du travail, assume depuis 200 ans cette contradiction ; inédite plongée à l’intérieur du corps humain au travail.
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