Se changer soi pour changer le monde

Rappel du premier message :

Cette jolie pancarte sur le parvis de la défense


m'a amenée à ce livre on-line :
http://sechangersoi.be/3Livre/livrepage01%2002.htm#livre

que je laisse sur cet espace "j'ai envie de..." en remerciement aux humains qui luttent de par le monde pour un autre monde possible.

Ben Arista, je concocte plutôt le fait de "les" forcer à se foutre des baffes eux mêmes... Ne manquerait que je me salisse les mains et tomber dans leur crasse mentale. Moi pas bouillonner avec le nucléaire, mais plutôt avec mes nucléides...De toute façon, à force de bourrer de neuroleptiques et de luxures pour se consoler des milliards perdus, au lieu de ces ridicules millions actuels, leurs cauchemards les perdront ! Chic et pas cher, 1 renversement de vapeur écologiquement nôtre..?!

http://www.terraeco.net/100-sites-pour-consommer-sans,39894.html , en espérant que cela vous soit accessible, 1 "petite" liste de structures alternatives...

Une petite liste ..... :D Tu veux dire une mine !!
Merci beaucoup, j'ai fait passer le lien aux relations intéressées.

Eh les guillemets, alors ! Merci et Youpi...à toi, Arista...et à toute l'équipe ! Ouais, le Paradis n'est pas qu'1 fantasme, c'est ce qu'il Nous reste à restaurer !
Qui se paie le luxe de chômer, maintenant..?

Super la "petite" liste.

A peine croyable...Sur cette liste j'ai trouvé des gens qui vendent des noix et pommes de leur verger et ils vivent à 15 bornes de chez moi ! Ah comme je suis contente de ce que Darna nous a permis de découvrir !!! Encore merci

Et quand tu en ramasses avec eux, ben 1 partie est pour toi...Chic et pas cher, faut demander s'ils pratiquent le woofing ou pas...dès lors, tu t'offres 1 semaine, à récolter dans la joie et la bonne humeur, nourrie/logée (bio en général, les adeptes du partage...), dans une contrée inconnue...Wouah...ça, c'est de la démocratie absolument appliquée ! Et pas fini...

Bah moi je me dis qu'à la base il faut commencer par s'aimer soi-même pour commencer à être moins "égoïste" et en cela vivre en société nous aide pas vraiment. Le chemin pour se connaitre et s'accepter soi-même est long et difficile mais une fois amorcée, il n'y a plus de marche arrière.

Une solution de facilité serait de devenir misanthrope, ermite ou s'éloigner des autres. La solitude a du bon mais trop triste quand notre coeur est rempli d'amour et qu'il a trop envie de se répandre !

Oui, Darna, c'est un bon plan que nous avons suivi cet automne lorsque nous avons fait le jus de pommes : des amis ont apporté leur récolte qui équivalait la notre et à la sortie nous avons partagé les bouteilles en 2 lots . Si bien qu'ils ont appris comment faire, le boulot a été plus facile et surtout plus marrant. C'est la même ambiance en agriculture au moment des gros chantiers (foins, ensilage, battage) . Quels festins !

Je suis aussi d'accord avec Pyguapa, l'avenir est aux mains de ceux qui pratiquent le partage, la solidarité. Le contact avec les autres nous instruit beaucoup car les autres sont un miroir dans lequel nous voyons toutes nos imperfections. Pas toujours facile mais si on accèpte de travailler sur soi, ça permet d'avancer.

Vous avez raison, le partage et la solidarité sont des pratiques fondamentales. C'est le coeur de la vraie vie. Toutes les tribus dites "primitives" sont basées la-dessus, nous on a oublié cela, du coup qui est reellement le "primitif" ?

Les 12 grains de raisins et l'horloge de la Puerta del Sol.

Cette nuit l'horloge de la Puerta del Sol sera, comme chaque année, la grande protagoniste d'union de tous les espagnols. À minuit chaque espagnol, aura entre ses mains 12 grains de raisins et dirigera son regard vers l'horloge de la Puerta del Sol. À chaque coup de minuit, chaque espagnol, au même instant, avalera un grain de raisin.

Ce que ni le drapeau, ni l'hymne arrive à créer, le créent 12 petits grains de raison et l'horloge de la Puerta del Sol.

Je ne connaissais pas cette coutume, c'est très joli et surtout très unificateur.

Un jour, toutes les couleurs du monde se mirent à se disputer entre elles,

chacune prétendant être la meilleure, la plus importante, la plus belle, la plus utile, la favorite.

Le vert affirma :
Je suis le plus essentiel, c’est indéniable. Je représente la vie et de l'espoir.
J'ai été choisi pour l'herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi, les animaux mourraient.
Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.
Le bleu prit la parole :
Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan.
C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace, la paix et la sérénité.
Sans moi, vous ne seriez rien.
Le jaune rit dans sa barbe :
Vous êtes bien trop sérieux. Moi j’apporte le rire, la gaieté et la chaleur dans le monde.
À preuve, le soleil est jaune, tout comme la lune et les étoiles.
Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur.
Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.
L’orange éleva sa voix dans le tumulte :
Je suis la couleur de la santé et de la force.
On me voit peut-être moins souvent que vous mais je suis utile aux besoins de la vie humaine.
Je transporte les plus importantes vitamines.
Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges aux mangues et aux papayes.
Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever ou au coucher du soleil,
ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.
Le rouge qui s’était retenu jusque là, prit la parole haut et fort :
C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie.
Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours prêt à me battre pour une cause.
Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune. Je suis la couleur de la passion et de l’amour,
de la rose rouge, du poinsettia et du coquelicot.
Le pourpre se leva et parla dignement :
Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir.
Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie
parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse.
Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.
Finalement, l’indigo prit la parole,
beaucoup plus calmement que les autres mais avec autant de détermination :
Pensez à moi, je suis la couleur du silence. Vous ne m’avez peut-être pas remarquée
mais sans moi vous seriez insignifiantes.
Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule et les profondeurs de l’eau.
Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.

Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter, chacune convaincue de sa propre supériorité.
Leur dispute devint de plus en plus sérieuse.
Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda. La pluie commença à tomber fortement.
Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.
Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :
Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres.
Ne savez-vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale, unique et différente ?
Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.
La pluie poursuivit : Dorénavant, quand il pleuvra,
chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleurs
et démontrer que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie.
L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain.
Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel,
pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.

C'est vraiment très beau !
Merci Elsolazul, j'espère que tu nous raconteras encore d'autres histoires ...

Merci Elsolazul, je comprends encore mieux pourquoi j'ai toujours préféré les couleurs de l'arc en ciel...Car même une goutte d'eau irisée, peut être nimporte qui...Alors pas nous, pour composer 1 océan d'espoir...

Merci Elsolazul pour tes jolies histoires qui apportent de la douceur dans ce monde malheureusement plus rempli de haine que d'amour.

@ Arista, le plus drôle avec cette coutume des 12 raisins c'est de voir les joues des gens bombées parce faut pas croire c'est un exercice difficile, il faut s'entrainer ! :D

Cette année, je me suis bien marrée avec nos amis espagnols qui avaient acheté exprès les raisins pelés et sans pépin. Nous nous sommes ratés les coups de minuit à force de discuter de tout et de rien. Mon pauvre ami était dégoûté et c'était trop drôle à voir. Mais l'essentiel était là : ces moments uniques de partage de rire et de joies malgré les vicissitudes de la vie.

Il faut savoir qu'à la base cette tradition a été institué sous le régime du dictateur Franco pour cause de surproduction de raisin. Comme quoi, on peut transformer quelque chose à priori "négatif" en quelque chose de "positif"

Des raisins pelés et sans pépins...waouh, c'est pour éviter les pesticides ou pour innover de nouvelles façons de moins se fatiguer les organes gustatives ? Moi avoir besoin de lumière sans ampoule, ni feu pour éclairer ma lanterne là..!

C'est un fait...à quoi peut bien ressembler un grain sans peau ni pépin ? Encore un OGM ce truc-là....

Pas de possibilité de mastiquer les 12 grains de raisin, il faut les avaler tel quel et ne pas s'étouffer. Alors il y a la version pelée et sans pépin, plus facile à avaler et avec moins de risque de s'étouffer.
Pour minimiser le risque d'étouffement, l'horloge de la Puerta del Sol sonne chaque coup de minuit à 3 secondes d'intervalle la nuit de la Saint Sylvestre.

Mais il y a d'autres versions :
Ma fille, quand elle était petite, n'aimait pas le raisin, alors elle prenait 12 morceaux de mandarine. Une collègue a raconté que sa fille de 4 ans n'aime pas beaucoup les fruits, elle prend 12 smarties.

L'impact, c'est le rituel d'identité.

Cette année en entrant dans le rituel, je n'ai pu m'empècher de penser aux mois de mai et juin en Espagne et à quel point la Puerta del Sol est un "lieu de pouvoir".

Venant du peuple maya, les petites poupées "quitapenas" sont encore aujourd´hui utilisées au Guatemala.



Aux antipodes du Guatemala, un conte russe fait également référence à ces petites poupées.


Vassilissa la Belle

Il était une fois un homme qui avait une fille, Vassilissa et qui à la mort de sa femme dut se mettre en ménage avec une veuve qui elle-même avait deux filles. Contrairement à ce qu'il pensait, la femme ne devint pas une bonne belle-mère pour Vassilissa et elle lui ordonna de travailler sans relâche.
Malgré les tâches qui lui incombait, Vassilissa s'en sortait plutôt bien . Il faut dire que sa mère, avant de mourir, lui avait donné une poupée à laquelle elle confiait ses peines et qui l'aidait à résoudre ses soucis. Évidemment, sa belle-mère et ses deux filles n'en savaient rien.

Un jour que le père dut partir pour un long voyage, femme et filles déménagèrent : quittant leur maison de ville, elles partirent s'installer dans une maisonnette à l'orée d'une forêt profonde. Chaque fois que la belle-mère le pouvait, elle envoyait Vassilissa dans les bois, espérant que celle-ci croiserait le chemin de la terrible Baba Yaga. Mais la protection de la poupée l'en empêchait. Un soir pourtant, la mère éteignit toutes les lumières de la maison, sauf la chandelle qui éclairait la pièce où se trouvaient les trois filles et elle confia à chacune d'elles un ouvrage à réaliser : de la dentelle à la première, du tricot à la deuxième et de la couture à Vassilissa... A un moment, l'une des filles voulut raviver la flamme et malencontreusement celle-ci s'éteignit... Les deux soeurs dirent qu'elles pouvaient continuer leur travail sans avoir besoin de plus de clarté mais Vassilissa... non... et elles lui ordonnèrent d'aller chercher du feu chez la sorcière. Vassilissa gagna sa chambrette, installa sa poupée devant un plat et l'implora : "Poupée, belle poupée, écoute ma peine!" Les yeux de la poupée s'allumèrent : "Mets-moi dans ta poche et je te protégerai chez la Baba Yaga tant que tu m'auras avec toi."

Vassilissa marcha marcha. La forêt devenait de plus en plus étrange et la fille gardait la main sur sa poupée, craignant de finir par s'égarer...

Vassilissa partit dans la forêt et marcha toute la nuit... Sur son chemin, elle fit trois rencontres :
- un cavalier blanc, tout habillé de blanc, monté sur un cheval blanc. Et le jour se leva.
- un cavalier rouge, tout habillé de rouge, monté sur un cheval rouge. Et le soleil se mit à briller.
- un cavalier noir, tout habillé de noir, monté sur un cheval noir. Et la nuit tomba.

C'est à ce moment-là que la jeune fille entendit des bruits alentour et qu'elle vit passer devant elle la sorcière dans un mortier. Munie d'un pilon, elle avançait à grande vitesse. Un balai accroché au mortier effaçait toutes les traces qu'elle faisait. Elle s'arrêta devant une palissade qui s'éclaira. Cette palissade était un enchevêtrement d'os humains. Au centre : une cabane montée sur des pattes de poule qui tournait et tournait sur elle-même sans jamais s'arrêter. Elle s'arrêta et sentit la présence de Vassilissa. Elle lui demanda qui elle était et ce qu'elle voulait. Vassilissa répondit qu'il n'y avait plus de feu chez elle et qu'elle avait été envoyée ici par ses soeurs. "Suis-moi!" lui dit la sorcière. Elle frappa dans ses mains : les battants du portail s'ouvrirent et la cabane cessa de tourner. Le balai lui-même disparut. Elles montèrent les marches vermoulues et pénétrèrent dans la cahute.

La vieille demanda à Vassilissa de sortir ce qu'il y avait dans son four parce qu'elle avait grand faim. Elle se mit à table, engloutit bruyamment tous les plats puis elle dit à Vassilissa qu'elle allait lui confier de l'ouvrage qu'elle devrait faire le lendemain : il s'agirait de nettoyer la maison, mais aussi de préparer le repas pour le soir, et encore de trier du son avec de la terre parce que de méchantes gens avaient tout mélangé. Attention : si elle n'était pas satisfaite, elle la mangerait! Sur ce, elle se tourna vers le mur et s'endormit illico. Vassilissa récupéra des restes de nourriture, se mit dans un coin, sortit sa poupée de sa poche et lui dit : "Poupée, belle poupée, écoute ma peine!" Les yeux de la poupée s'allumèrent. La jeune fille raconta ce que lui avait demandé la Baba Yaga. La poupée la rassura et lui dit que tout irait bien puisqu'elle était à ses côtés.
Le lendemain matin, quand Vassilissa se réveilla, la vieille était déjà debout, près de la fenêtre. Passa alors le cavalier blanc, le jour se leva et la sorcière partit dans son mortier, armée de son pilon et avec son balai qui effaçait toutes les traces. Quand elle fut loin, la jeune fille vit que sa poupée avait déjà fait beaucoup de travail : la maison était propre et elle avait quasiment effectué le tri délicat. Il ne restait à Vassilissa qu'à préparer le repas de la sorcière.
Le soir venu, dès que le cavalier noir apparut, on entendit la forêt trembler de toutes parts et arriva la Baba Yaga. Elle se mit aussitôt à table et mangea de bon appétit. Elle demanda à voir si le tri avait été fait, en fût satisfaite et frappa dans ses mains : des bras sortirent des murs et s'emparèrent des deux bols avant de disparaître. La vieille dit à Vassilissa que le lendemain elle aurait à effectuer un autre tri : lentilles et cailloux. Les gens étaient tellement méchants! Sur ce, elle se tourna vers le mur et s'endormit illico.

Vassilissa procéda de la même façon que la veille. Le lendemain, elle constata la même chose : la poupée, une fois encore, avait venue à son aide. Le soir, lorsque la Baba Yaga fut rentrée, qu'elle eut constaté que le travail avait été bien fait et qu'elle eut demandé à ses fidèles serviteurs (les bras des murs) de prendre les deux bols, elle s'installa pour manger. Comme la jeune fille restait immobile à côté d'elle, la sorcière se courrouça : ne pouvait-elle lui tenir compagnie, engager la conversation, n'avait-elle aucune question à lui poser? Mais attention, à trop vouloir savoir, on risquait de vieillir vite! Vassilissa s'enhardit et demanda qui étaient les cavaliers qu'elle avait aperçus dans la forêt. Ce à quoi la vieille répondit : le cavalier blanc était son Clair Jour, le cavalier rouge son Puissant Soleil, le cavalier noir sa Nuit Profonde. Elle pensa aux bras mais elle s'abstint et quand la Baba Yaga lui demanda si elle avait autre chose à demander, elle se contenta de répondre : "A trop vouloir savoir, on vieillit vite". La vieille dit que c'était bien ainsi : elle répondait volontiers aux questions qui concernaient ce qui se passait en dehors de sa maison, mais elle n'aimait pas qu'on mette trop le nez dans ses affaires et ne supportait pas qu'on essaie de savoir ce qui se passait chez elle. Puis ce fut à elle de demander comment Vassilissa s'y prenait pour arriver à faire tout ce qu'elle demandait, sans aucune difficulté. La fille répondit que c'était grâce à la bénédiction de sa mère. La sorcière s'emporta et lui dit qu'elle n'avait pas besoin de ça : qu'elle s'en aille, et tout de suite! Tandis que Vassilissa s'apprêtait à partir, la vieille la rattrapa en lui disant de ne pas oublier d'emporter ce qu'elle était venue chercher : elle lui remit un crâne de la palissade qu'elle ficha au bout d'un bâton.

Vassilissa courut à perdre haleine et enfin aperçut sa maison. Elle s'apprêtait à jeter le crâne quand celui-ci lui dit de l'apporter à sa marâtre. En s'approchant, Vassilissa ne vit aucune lumière ni aucune fumée : ni aux fenêtres, ni à la cheminée. Quand elle pénétra à l'intérieur du logis, elle fut accueillie à bras ouverts : depuis qu'elle était partie, il leur avait été impossible de préserver le feu. Chaque fois qu'elles tentaient d'allumer la cheminée ou d'éclairer une lampe, aussitôt le courant d'air se levait et l'éteignait. A ce moment-là, les yeux du crâne se mirent à briller et ils brûlèrent la marâtre et ses filles qui ne parvinrent pas à leur échapper.

Superbe nom que celui de Vassilissa... V - assi-l-issa... effet mirroir

Voilà encore une belle histoire qui n'est pas sans en rappeler une de chez nous.
En effet, le prénom Vassilissa se prête au jeu du palindrome tout comme Bob
En voici un plus long :
"Elu par cette crapule,
Esope reste ici et se repose."

Et cet autre :
"A Laval elle l'avala
Et Luc colporte trop l'occulte."

Arista, je viens d'ajouter un nouveau mot à mon dictionnaire particulier : palindrome
je ne savais pas que l'effet mirroir pour les lettres s'appelait comme ça

Cet amusement littéraire est fort ancien; récemment, nous avons traversé une année palindromique : 2002; ça n'arrive pas souvent ....

Coucou Aista et Elsolazul ,

Vous avez de ces trucs vous , vous sortez des mots que même pas la première lettre je comprends.

Vous m'obligez à faire travailler les méninges et ça me fatigue.

Mais bon , ne changez surtout rien , je préfère me fatiguer que mourir idiot , il est toujours bon d'apprendre.

Au cas où cela pourrait intéresser quelqu'un curieux comme moi , cliquez ici pour en savoir plus sur ce mot , (palindrome) , barbare que nous ont trouvé nos deux amies.